Dans nos sociétés matériellement riches, nous avons souvent beaucoup de difficultés à vivre le bonheur. À tel point qu'il faut combler la détresse psychologique par toutes sortes d'adjuvants allant des antidépresseurs aux achats compulsifs.
Se pourrait-il que notre quête du bonheur soit faussée? Que le bonheur ne réside pas dans l'accumulation de gâteries ou dans l'excitation de satisfaire nos appétits dès l'instant qu'ils apparaissent?