Les baby-boomers, dirigeants d’aujourd’hui, ont peine à comprendre la génération montante des leaders qui prendront la relève. Eux qui ont lentement monté les échelons se trouvent fasse à des jeunes insubordonnés, pour qui l’ancienneté et la hiérarchie ne veulent plus rien dire et qui semblent penser que tout leur est dû.
Les jeunes leaders veulent un travail qui donne un sens à leur action. Obtenir un titre ronflant ne les stimule pas. Ils recherchent la transparence et l’éthique dans des entreprises où la compétence est le premier critère d’avancement.